Construire son avenir
Faculté des Humanités

Être accompagné·e dans mon insertion professionnelle

Vous êtes en recherche de stage ou d'emploi, vous avez un projet de création d'entreprise ou vous souhaitez en apprendre davantage sur les métiers envisageables après vos études ? La Faculté des Humanités et l'Université de Lille vous accompagnent tout au long de votre parcours.

Des actions et dispositifs pour vous aider dans votre insertion professionnelle

Faire le point sur votre recherche de stage

 

Nous vous proposons un accompagnement individuel autour des thématiques suivantes :
 

  • Méthodologie de recherche de stage ; 

  • Conseils au sujet de vos candidatures ; 

  • Présentation de ressources et d'outils d'aide à la recherche de stage.
     

Pour nous rencontrer, prenez rendez-vous via le cours moodle Stages et insertion professionnelle - Faculté des Humanités - code/clé d'inscription : msru5j

 
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Les témoignages de nos alumni et étudiant·es-stagiaires

Retrouvez sur Lilagora des portraits d’ancien·nes étudiant·es et des récits d’étudiant·es au sujet de leur stage !

Les portraits sont accessibles en intégralité sur la communauté de la Faculté des Humanités sur Lilagora.
Vous devez être inscrit·e sur Lilagora et demander à rejoindre la communauté de la Faculté des Humanités pour accéder à ces témoignages.

Retrouvez également sur la WebTV des portraits-vidéo d'ancien·nes étudiant·es aujourd'hui insérés professionnellement, mais aussi des témoignages d'étudiant·es au sujet de leur stage !

Les conseils de nos étudiant.es-stagiaires

« S’y prendre à l’avance. Il ne faut pas hésiter à envoyer des CV et des LM dès septembre, surtout pour un stage de cinq à six mois prévu au deuxième semestre. » (Etudiant en M2 DFLES)

« Anticiper suffisamment le démarchage auprès des structures qui vous intéressent, pour ne pas prendre le risque de devoir choisir ensuite un stage par défaut, dans l’urgence du calendrier qui vous est imposé. » ) (Etudiant en M2 Etudes littéraires)

 « Pour les futurs stagiaires, je conseillerai de rester ouverts à toutes les opportunités, d’être curieux et d’avoir l’esprit aventureux sans pour autant tout accepter. Au début de ma recherche de stage, je me suis fixé quelques critères qui me paraissaient essentiels pour que je puisse me sentir bien dans mon environnement de travail. » (Etudiant en M2 Patrimoine et musées)

« Le premier conseil que je pourrais donner est de ne pas hésiter à contacter les personnes auprès desquelles vous souhaitez faire un stage. » (Etudiante en M2 Etudes littéraires)

« Si vous avez la possibilité n’ayez pas peur de vous éloigner de chez vous, d’aller en stage dans une autre région de France, c’est très formateur. » (Etudiante en M2 Archives)

 « Bien choisir votre stage afin qu’il corresponde au mieux possible à vos attentes. A partir de là celui-ci ne pourra que vous conforter dans votre parcours professionnel et vous permettre de créer de bons souvenirs. » (Étudiante en L3 Licence Archéologie)

« Faire un stage c'est se confronter réellement au futur métier ! C'est primordial de le faire et de s'assurer de la voie que l'on choisit ! » (Étudiante en L3 HG)

« Ne pas choisir le stage en fonction du lieu de destination mais surtout en fonction des activités proposées et de leurs attentes. Un stage de M1 n’est pas un stage de M2. Même si une travailler quelques mois dans une destination ensoleillée peut être chouette, ça ne signifie pas que le stage proposé est qualitatif pour autant. Il faut donc se renseigner un minimum auprès de la structure d’accueil. » (Étudiant en M2 DFLES)

 « Un autre conseil serait de bien choisir son stage en fonction de votre futur projet professionnel, ou du moins de vos envies, afin de faire un stage qui vous soit à la fois utile et plaisant. » (Étudiante en M2 Etudes littéraires)

« Je conseille aux étudiants de s’informer auparavant sur les missions possibles du métier et de s’informer au maximum sur l’entreprise dans lequel ils vont réaliser un stage. » (Étudiante en L2 HSI)

 « Ne pas avoir peur, j'étais très stressée de devoir faire un stage et je me suis rendue compte que c'était une belle opportunité d'en apprendre plus. » (Étudiante en L3 FLE)

 « Je conseillerais surtout aux étudiant·e·s de ne pas s’ajouter une pression supplémentaire lors des stages. Souvent, ces expériences sont un tremplin vers l’insertion professionnelle. En tant qu’étudiant·e, je pense qu’on peut facilement se perdre dans ses objectifs car les stages sont stressants. On s’imagine souvent que notre lieu de stage nous évalue tant pour nous faire progresser que pour jauger s’il serait intéressé pour nous embaucher. Gardez à l’esprit que la période des stages est faite pour expérimenter. Vous n’êtes pas en entretien d’embauche et vos tuteur·rice·s savent que vous n’êtes qu’à vos tout débuts. Personne ne peut arriver en stage en connaissant toutes les ficelles du métier. Le stage est avant tout un espace fait pour se tromper et apprendre de ses erreurs. Il est aussi l’occasion de se créer un réseau. Dédramatisons les stages ! » (Étudiante en M2 Master ILSF)

« Si je devais donner un seul conseil aux autres étudiants il s’agirait de celui-là : Amusez-vous. Vivre un stage sans y prendre plaisir, sans aimer apprendre, sans sourire en se levant le matin à l’idée de vivre une journée de plus cette expérience ne saura que vous faire traîner des pieds, et parfois même vous démoraliser. » (Étudiante en L3 Licence Archéologie)

« Croyez en vous, si vous avez des questions posez-les, il n’y a pas de questions bêtes. Profitez de votre stage à fond, c’est là que vous apprendrez le plus votre futur métier. » (Étudiante en M2 Archives)

« Il faut tout essayer pendant le stage et se montrer curieux. Un stagiaire est là pour apprendre, alors, touchez à tout et surtout amusez-vous. » (Étudiant en M2 DFLES)

« Veillez aussi à éveiller votre curiosité, à prendre des notes et à montrer le meilleur de vous-même à votre tuteur·rice de stage ! » (Étudiante en L3 Licence Archéologie)

« Une organisation rigoureuse et une bonne gestion de votre énergie est la clé pour mener à bien votre stage et je pense que cela s’applique aussi à la vie professionnelle de façon générale. La charge de travail peut paraître lourde au premier abord mais les compétences et les connaissances assimilées valent la peine de s’impliquer dans cette expérience. » (Étudiante en M2 Musique et interprétation)

« Si vous voyez que tout se passe bien pour vous, essayez de prendre des initiatives pour montrer votre motivation ! » (Étudiante en L3 Humanités)

Pour les stages d’interprétariat : « D’un point de vue pragmatique, je leur conseillerais de prendre une grande valise ! Lorsque nous sommes en stage, nous devons être capable d’avoir une tenue adaptée à toutes les situations d’interprétation possibles : une tenue chic pour les meetings politiques, une tenue confortable pour les sorties en agronomie, une tenue sobre pour les enterrements, etc. Mieux vaut parer à toute éventualité ! » (Étudiante en M2 Master ILSF)

« Essayez de trouver une thématique [de mémoire] bien avant le début du stage et ne finissez pas le stage sans avoir récolté de données (questionnaires, documents de travail pour les annexes, etc.). Ça paraît bête mais on n’y pense pas toujours. » (Étudiant en M2 DFLES)

 « Ne pas hésiter à demander de l'aide ou des conseils pour la rédaction des conventions de stages ou les modalités. » (Étudiante en L3 Histoire-Géographie)

« Veillez bien à prévoir le temps que vous prendra votre stage sachant que vous aurez également un mémoire à préparer en parallèle. » (Étudiante en M2 Etudes littéraires)

Les conseils de nos alumni

« Il est aussi régulièrement organisé en métropole lilloise des « rencontres » professionnelles autour d’un petit-déjeuner, déjeuner ou autre. Ces rencontres sont souvent prolifiques en terme de nouveaux contacts. Ces évènements sont souvent annoncés sur Linkedin par la MEL ou par d’autres structures. D’où l’intérêt de s’y inscrire ! » (Alumni Histoire, cheffe de projet digital)

« Je conseille aussi vivement de créer un compte LinkedIn. C’est un réseau qui fonctionne extrêmement bien pour l’avoir testé. Dans mon entreprise, nous recrutons souvent par ce biais. » (Alumni Histoire, cheffe de projet digital)

« Lors de vos stages, osez demander un élargissement de vos missions, notamment la prise de contact avec les partenaires, artistes, collaborateurs, de cette manière ils connaîtront votre nom et un premier échange aura eu lieu avec vous dans un cadre professionnel. De cette manière vous aurez une accroche pour les recontacter plus tard si besoin. » (Alumni Histoire de l'art et archéologie, en service civique dans un tiers-lieu)

 « Ne négligez pas non plus les intervenants lors des conférences / rencontres organisées par votre formation. Ils sont déjà dans une démarche de partage, de valorisation de leur profession et la transmission de l’environnement et les enjeux animant leur secteur et structures, ainsi garder leur contact et allez les voir à la fin de leurs interventions peut vous permettre de vous faire remarquer pour la suite. » (Alumni Histoire de l'art et archéologie, en service civique dans un tiers-lieu)

 « Aller dans les salons du livre et autres événements liés, mais de préférence les plus petits ! » (Alumni Lettres Classiques, traductrice littéraire indépendante)

 « La qualité du travail réalisé doit évidemment être et rester la priorité dans ses études. Toutefois, je peux évidemment conseiller aux étudiants qui se dirigent vers le monde de la recherche de s’intéresser aux principaux événements dans leur discipline ; les expositions et colloques par exemple peuvent favoriser des contacts intéressants. » (Alumni Histoire, égyptologue et ingénieur de recherche)

« Pour les étudiants ayant un parcours similaire au mien, je leur conseillerais de se rapprocher de pépinières telles que la Plaine Images, que Pictanovo, de fréquenter les lieux et événements d’organismes tels que les Rencontres Audiovisuelles, qui regorgent de contacts du monde culturel et audiovisuel. Je leur conseillerais également de ne jamais hésiter à se rapprocher d’un milieu qui leur plaît, et tout simplement d’oser aller au contact : nous sommes dans un milieu propice à l’échange ! » (Alumni Arts, créateur et gérant d’une plateforme de VoD)

« Et enfin, faites-vous confiance, à la fois dans vos compétences acquises, mais aussi celles que vous cherchez à développer et acquérir. L’envie d’apprendre et la curiosité sont des atouts et non des faiblesses. » (Alumni Histoire de l'art et archéologie, en service civique dans un tiers-lieu)

« Apprenez à utiliser des logiciels informatiques spécifiques (la suite Office, c’est la base. Ne pas la maîtriser revient à être analphabète). (Alumni de Lettres Classiques, responsable communication)

« Apprenez une deuxième langue outre l’anglais. Si vous connaissez l’anglais plus une autre langue, vous êtes trilingue. Si vous ne connaissez « que » l’allemand ou l’espagnol par exemple, c’est comme si vous ne connaissiez que le français. » (Alumni de Lettres Classiques, responsable communication)

 « Vis-à-vis de mon domaine et je pense que cela s’applique plus largement à tous les domaines, il faut absolument être force d’initiatives pour aller chercher les contacts, la connaissance, la réflexion. » (Alumni d'Histoire, chargé de mission)

« Si l’opportunité se présente (et il faut aussi savoir aller la chercher), un stage dans un milieu professionnel visé constituera toujours une expérience enrichissante. » (Alumni d'Histoire, égyptologue et ingénieur de recherche)

« Faites des stages, plein de stages dans diverses collectivités, soyez mobiles et restez motivés ! » (Alumni d'Histoire et Histoire de l'art, assistante de conservation en musée)

« Démultiplier les stages et les candidatures spontanées. » (Alumni de Lettres classiques, assistante de conservation en musée)

« Les unités de recherche ne passent pas forcément par des réseaux généralistes de type LinkedIn pour diffuser leurs actualités ainsi que leurs offres de stages et d’emplois. Inscrivez-vous aux listes de diffusion consacrées aux domaines de recherche qui vous intéressent, suivez l’actualité des consortiums et des projets ANR, participez aux colloques et journées d’études qui vous sont accessibles, renseignez-vous sur les postes mis aux concours CNRS lorsqu’ils sont ouverts. » (Alumni Sciences du langage, ingénieur d’études en informatique)

« Pour les métiers de l’édition, je conseille vivement aux étudiant·e·s de se tourner vers le réseau professionnel de l’Asfored. De nombreuses offres d’emploi y sont régulièrement publiées. En ce qui concerne l’édition académique, les étudiant·e·s peuvent se tourner vers les réseaux Medici ou Digital Humanities. Des offres de stage ou des contrats y sont également proposés. » (Alumni de Lettres modernes, chargée d’édition)

« Il ne faut évidemment pas négliger l’importance des outils numériques modernes qui sont de plus en plus consultés, en particulier les réseaux sociaux professionnels, LinkedIn ou bien encore Academia pour gagner en visibilité. » (Alumni d'Histoire, égyptologue et ingénieur de recherche)

« De prendre le temps. » (Alumni Lettres classiques, traductrice littéraire indépendante)

« J’ai l’impression qu’il y a beaucoup de métiers invisibles ou méconnus et que les études de lettres, notamment, semblent inévitablement conduire vers le professorat. Or, je suis convaincue que ce n’est pas un métier qui convient à tout le monde et que c’est dommage de l’exercer sans en avoir vraiment envie. Il y a plein de métiers du livre notamment qui sont très peu connus. Une formation de lettres classiques peut être une base pour poursuivre des formations très variées ensuite et parfois plus pratiques ou professionnalisantes. » (Alumni Lettres classiques, traductrice littéraire indépendante)

« Passer les concours de la fonction publique, partir à l’étranger, suivre des formations dans les domaines qui les intéressent. » (Alumni de Lettres classiques, assistante de conservation en musée)

« Contacter directement des professionnels pour les rencontrer, réaliser des stages et des formations. » (Alumni de Lettres classiques, assistante de conservation en musée)

« S’engager dans des associations pour celles et ceux qui en ont le temps peut par ailleurs s’avérer très enrichissant, on y fait des rencontres inspirantes et il y a beaucoup à apprendre des parcours de celles et ceux que nous croisons dans ces structures. » (Alumni de Philosophie, responsable d’activité dans un tiers-lieu)

 « Pour ceux qui le souhaitent (ou comme moi y ont été obligés par la force des choses), vous pouvez travailler durant vos études dans des entreprises qui n’ont pas forcément de rapport avec votre diplôme préparé. Cela permet de développer son ouverture d’esprit mais aussi son réseau. » (Alumni d'Histoire, cheffe de projet digital)

« Je pense que le service civique est un bon moyen pour se constituer une première expérience professionnelle. C’est aussi l’occasion de créer de nouveaux contacts et de commencer à se constituer un réseau. » (Alumni de Philosophie, responsable d’activité dans un tiers-lieu)

« Il faut s’investir en dehors de la formation universitaire au sein d’associations, participer au maximum à des événements comme les conférences, les colloques pour nourrir sa réflexion et se faire un réseau. Il existe en France de nombreuses associations et de nombreux Think Tank qui organisent régulièrement beaucoup d’activités. » (Alumni d'Histoire, chargé de mission)